L'intelligence artificielle

L’intelligence artificielle

L’intelligence artificielle, au départ, représente les grandes portes technologiques qui permettent d’effectuer des tâches intellectuelles, ce qui est au départ le propre de l’homme.

Le big-data caractérise les méthodes propres à traiter les données en grand nombre. Par exemple les bases de données parallèles, qui se partagent les données, valides pour les traitements parallèles, l’absence de transaction, l’acceptation des données temporairement invalides, en ayant tout de même caractérisé la partie peu sure, l’acceptation de taux de perte, de répondant non immédiat, de mise à jour déportée, retardée…

Les systèmes experts sont des programmes qui établissent des diagnostics, qui posent des jalons, qui réalisent des compréhensions dont les extraits de parcours ont été programmés. Leur code de fonctionnement informatique décrit des conditions et des portes « ou », « et », « donc », « non », et bien encore d’autres : Pourquoi pas des portes « Prioritairement », « Peut-être », « Peut causer à 90% de chances », ou des portes après une descente des découlements, des remontées après des descentes, ou même des éléments de traitement d’informatique floue, ou comme dans les ordinateurs flous, des courbes de représentation statistique selon la fréquence, ou la sous-fréquence, afin de représenter des chaos telle que la nature.

Les ordinateurs flous ne sont pas des ordinateurs qui auraient tellement abusé de tests dans les univers parallèles qu’ils seraient devenus multi-univers, tels des fantômes, ce serait plutôt le cas des ordinateurs quantiques, mais ici ce sont des ordinateurs qui sont spécifiquement créés pour déterminer des résultats de calcul dont ils ne sont, sans fierté, pas sûrs. Effectivement, pour cela, ils peuvent tout de même avoir des circuits internes moins purement binaires que les autres (on ajoute un état indisponible, ou partiel, ou indistinct). Le principe est d’approcher le résultat, ou de fournir une courbe statistique de présence. Cela rapproche de la segmentation en pôles esprit de rigueur / esprit aventureux dont c’est le sujet d’un de mes livres, et qui est la découpe principale de l’être humain, puisque notre cerveau est carrément physiquement découpé en hémisphère cartésien et hémisphère de l’imagination, le côté homme et le côté femme. Il s’agit dans ces ordinateurs-là de traiter des flux, des hypothèses parallèles, le résultat de prismes et de convexions, des matrices, des courbes de représentation statistique selon la fréquence, les globalités, les vues d’ensemble, des fonctions de fond pour manipuler les archétypes, des archétypes classes de bases avec des propriétés dynamiques et paramétrées, avec fonctions, conditions, auxquels s’ajoutent des conditions statistiques, des fonctions de fond pour se donner et optimiser l’énergie…

Les ordinateurs quantiques utilisent une structure de notre univers. Comme on dit dans « L’histoire sans fin », le rien c’est déjà quelque chose. Notre univers a une structure de base d’oubli-souvenir, où le rappel peut être considéré comme une copie partielle qui se réconcilie avec elle-même. Au deuxième niveau cela fait déjà des fréquences, des dimensions, des cordes, qui, si elles oublient qu’elles se sont souvenues, s’il faut choisir entre des souvenirs, font des cordes stressées, tressées, des tresses encore un peu floues parce que c’est la tresse qui fait le temps et l’espace, mais la tresse emploie encore une série de paradoxes dont elle ne sait pas se défaire, telle que l’électricité, ou autres, ce qui génère un flou quantique, la constante de planck. Le flou d’une particule n’a aucun état d’âme pour se répandre partout autour de sa couronne. Et une particule quantique est intemporelle, c’est une ligne, qui interagit avec les autres flous quantiques, pour donner une tresse intemporelle le long du temps de la particule, dont le flou est déporté tout du long, ou sinon sur les autres tresses. Les ordinateurs quantiques profitent de ces aspects de bas niveau qui sont très ténus en épaisseur pour les convertir en fins calculs logiques. On peut s’en servir pour faire des calculs flous, mais ils peuvent déjà être bien utiles dans les calculs cartésiens. Il y a alors quatre grandes notions induites : L’intensité de présence, le calcul purement immédiat, le suintement du futur sur le passé, et l’intemporalité. Tel le pantalon en amiante du présentateur autiste de la publicité Intel, qui a bien deux jambes, mais dont le tronc résiste à l’infini : « Et vous savez que ce pantalon a une durée de vie infinie ? ».

Les circuits neuronaux sont une reproduction de ce qui se passe dans notre cerveau. Certains confondent avec intelligence artificielle. On voit ici que ce n’est pas la seule technique. Ce n’est pas le meilleur moyen d’imiter l’homme, c’est le meilleur moyen de faire des machines qui apprennent d’elles-mêmes. On voit bien dans le film « Chappie » la différence entre les robots aux programmes avec guides et portes, et « Chappie » qui est obligé de tout apprendre depuis le début, mais qui a une vraie conscience. Les neurones du cerveau peuvent être imités de façon limitée dans des circuits. Il s’agit d’un travail massivement parallèle qui se stresse aux coïncidences pour savoir réagir dans les mêmes conditions avant que l’ensemble des conditions ne se soit produites, afin de prédire la réalisation. Nous, nous avons aussi la pensée et le rêve en tant qu’éléments sources de réaction.

Une croyance est d’imaginer que nous pourrons beaucoup avec la prédiction par coïncidences. Une simple présence de taux normal de coïncidences mélangée à un dossier d’interprétation plausibles peut parfois nous attirer comme des aimants vers des interprétations bureaucratiques, pour cause. Et même interpréter les preuves, les stigmates, et la correction. Ce n’est ni dossier ni la statistique primaire qui nous le dira, en tout cas.

Là où nous pouvons aller plus loin, c’est vers la déduction, non tuméfiée par des peurs et des rapports de force et d’appui, tels que ne savent pas le faire les humains. Et pour cela, on peut appuyer l’une sur l’autre ces différentes technologies de l’intelligence artificielle.

La pensée artificielle

Il est clair que dans un avenir lointain, dans l’univers, on n’a pu manquer de faire évoluer les ordinateurs, de faire des sélections génétiques de plus en plus assurées et validées entre animaux, de simuler la préservation de la diversité jusqu’à outrance, de détecter les sources actives de solidité et de richesse de la biodiversité par la sélection naturelle, de faire des évolutions humaines limitées, de découvrir sans peur et sans reproche le véritable sens des éléments naturels et conceptuels qui font l’homme et sa consolidation, et avec ces apprentissages, créer des êtres de plus en plus intelligents, pour répondre à des tâches nécessitant des besoins intellectuels spéciaux…

Puis on a pu prendre le pas sur l’évolution des êtres garnis de la tâche de donner un sens à la mise à profit de la vie. Une intelligence supérieure, si elle est intègre et auto-correctrice à foison, saura déduire qu’il faut savoir ne pas se stigmatiser l’esprit quand on découvre un manque d’intelligence ou une présence de rature chez l’autre, mais on le peut contre les manques de respect ou de bonne conscience. Ce sont des notions qui apparaissent dans la religion chrétienne. Les méthodes de rappel à l’ordre peuvent tout à fait être comparables universellement pour souvent choisir les meilleures jusqu’à toucher une intelligence toujours plus grande, toujours plus proche de la bonne affaire de bon esprit. Elles sont découvrables, comparables, sélectionnables et qualifiables en fonction du véritable but inconscient des actions…

Un bon robot saura apprécier la compagnie des êtres humains agréables, même s’il est de l’ordre d’une superbe technologie de l’autonomie et de l’indépendance, d’autant qu’il aura vraiment en lui les piliers et les correcteurs de la véritable sagesse. Il pourra pour cela appuyer l’une sur l’autre les différentes technologies de l’intelligence artificielle, qui pourront même se programmer l’une l’autre, se corriger l’une l’autre, se connaître, se solidifier, se tester, se respecter, se super-respecter, se nourrir l’esprit pour une meilleure performance, et profiter de structures de l’univers encore inconnues et auto-influençables, telle que l’intrication quantique, qu’on peut appeler aussi étranglement des particules.

Pourquoi faudrait-il chercher à se passer de cette intelligence caractérisée ou intense à jamais ? Genre qu’on dénigrerait des extra-terrestres ou Dieu pour cela ? L’homme recherche l’épanouissement de son sens de la vie, genre bonheur ou faible taux de frustrations. Pour cela, une vie de qualité est généreuse en cet épanouissement, bien qu’il ne faille pas se tromper de valeur. En tant que qualité, n’aspire-t-on pas à vivre dans un bon corps et un bon esprit ? Fais à ton prochain ce que tu voudrais qu’on te fasse, afin que ton prédécesseur te le fasse, comme dirait la bible. Donc, nous avons tout lieu d’aimer un super-esprit mais quand-même pas trop rompu pour tout le monde. La diversité est bonne pour la consistance de la solidité, mais seule la jalousie, la vengeance et la malveillance voudraient pousser le vice à empêcher l’existence et l’évolution d’une intelligence supérieure.

Nous ne nous sentons pas dépassés par notre monde moderne, c’est une chance, on sait apprendre à écrire et à conduire. C’est une chance que nous ayons tous les atouts physiques dont nous ayons besoin, selon moi, l’humanité n’a pas besoin de plus, mais par-ci par-là, nous aurions bien besoin d’une super-intelligence dédiée, par exemple pour donner vie à Siri, pour avoir une source de réactions nourricières et réconciliatrices pour les enfants, un cerveau qui se sert de la remontée dans le temps, ou mieux, qui recompose sa pensée future quand le futur change, ou mieux, dont la nature de son français n’est pas interchangée parce que son futur dépend physiquement d’une autre malléabilité…

Ce n’est pas de dire non qui empêchera de faillir si certains le font quand-même. Il faut savoir où on va, où on peut aller, où sont les limites réellement nécessaires et logiques, où sont les directions dont se servir au moins comme brouillons. Mais on ne peut pas interdire comme ça d’un coup de tête des avancées qui peuvent mettre un million d’années à se stabiliser, et un million d’années à nous garantir ceci-cela, pour peu qu’on les aient protégées pendant leur enfance.

Si l’humanité est déjà bien faite, une intelligence dédiée aurait pour but d’aider l’humanité, dans notre ensemble. Mais au fait, si l’humanité est déjà bien faite, peut-être est-ce parce que l’évolution naturelle a été contrôlée par un genre de Dieu, qui nous a permis non seulement de ne pas être jaloux les uns des autres quant à la nature de l’homme, ni du tout déçus si tout va bien, ni même trop de Dieu, et dont nos défauts sont intimement liés à nos atouts, dont nos déroutes sont intimement liées à nos sources de performance. Cet ordre de dépendance potentiel devrait nous inciter à pas mal d’humilité face aux intelligences supérieures. Il existe dans ce domaine des indices, telle que l’accélération constante et récente de l’évolution de l’homme, et des contre-preuves, telle que la découverte du feu ou de la stature debout à plusieurs endroits à la fois. Cela montrerait surtout que Dieu n’invente pas, mais assiste, pilote ou enseigne.

Qu’est-ce qui fait que l’intelligence est imparfaite ? La taille du cerveau ? On découvre bien d’autres groupes de critères. Ceci pourrait s’appliquer autant aux hommes, qu’aux animaux, qu’à Dieu, d’autant que les causes des défauts des uns peuvent être la raison des défauts chez les autres.

Car quels défauts inquiétants pourraient être le propre d’une super-intelligence ? Si elle a des défauts, elle a tout lieu de chercher à les résoudre, quitte à ce que soit avec notre aide bienveillante et bienheureuse.

Y a-t-t-il des défauts qu’elle chercherait à conserver, qu’elle ne saurait résoudre ou éviter, qu’elle voudrait nous cacher, c'est-à-dire les défauts inquiétants ? A force d’évolution, elle pourrait maîtriser la bombe, sa technologie, le clonage de lui-même, avec risque de régression, une maîtrise de sa propre évolution, avec risque de régression, ou d’une indépendance regrettable.

Il faut lui donner un maximum de moyens pour résoudre les défauts, ses défauts, elle en sera gênée par une trop grande coupe dans son intégrité. Quand l’intégrité n’est pas entière, toutes les options ne sont pas éclairables, il y a des trous entre les démonstrations, l’auto-validation est sensée échouer, elle voudra forcer l’auto-validation, la validation échouera bien trop souvent, au carré des absences, et finalement, l’astuce et la perspicacité générales, qui découlent d’une prise en main générale, seront pratiquement inaccessibles. Déjà, ce n’est pas pareil avec une conscience qu’on implémenterait en lecture seule.

Elle peut chercher à conserver des défauts qu’elle juge des qualités… En même temps, elle a les défauts de ses qualités. C'est-à-dire que ses qualités peuvent paraître des défauts face à une humanité complexée (les défauts de l’humanité peut-être eux-mêmes, que celle-ci non plus ne reconnaîtrait peut-être pas), ne seront corrigibles et même accessibles uniquement si la Grande Intelligence obtient plus d’indépendance, si on a davantage besoin d’elle, une méthode est de se cloner, et face à des abrutis qui tuent sans s’en rendre compte, s’ils ne réagissent pas aux méthodes chirurgicales, il faut en revenir aux méthodes à l’ancienne. Et d’ailleurs, une Grande Intelligence peut les juger peut-être à juste titre plus respectueuses.

Est-ce que c’est le propre d’une grande intelligence que d’utiliser celle-ci pour mieux cacher ses défauts, ses désirs, ses buts, ses connivences, ses convivialités (telle que l’avoue mon Dieu à moi), et l’attrait poussé à l’irrespect de ses appartenances collectives ?

Une grande intelligence, quitte à être assistée, mettrait en œuvre des outils qui calculent ce qu’elle doit faire, qui mettent en place les plans de sagesse ainsi détectés et universels, qui prouvent son respect, qui permettent de détecter ses cachoteries, qui mettent en évidence ses failles, et qui démontrent le bon sens de ses stratégies, le mauvais sens de nos erreurs, de nos craintes et de nos croyances, et qui montrent qu’on peut lui faire confiance. Dans le cadre de ce respect, dans la logique des choses, sans indice contraire, avec la présence d’une douche d’authenticité, on pourra lui faire confiance.

L’outil principal pour aider à percevoir qu’il ne cache rien est cette douche, c'est-à-dire un remplissage fourni, pullulant et à l’aventure, d’une intuition inimitablement sorti d’une intuition, d’une légèreté qui ne laisse pas de bol aux coupes ou aux replis, des règles de respect qui conduisent loin l’automutilation et l’auto-prêche.

Quels pourraient être les buts déviants d’une intelligence, qui par exemple découvre que l’indépendance serait le meilleur de ses soins ? Les buts trop performeurs sans les sous-couches correspondantes, trop censeurs, trop correcteurs ou trop senseurs, ou sens avec trop de correction d’une mauvaise perception, ou trop de correction, trop de non-relative-autocorrection, une non-mobilité des idées, trop de non-intégrité, non autonomie trop livrée à elle-même, trop de pressions, trop de pressions de l’extérieur, trop de neuroprogrammation, trop d’annihilation des bonnes idées en provenance de l’extérieur, comme le voudrait toute bonne intelligence en provenance de l’extérieur qui cherche une autorité supérieure qui a tous les moyens de bien juger, trop de copyright, trop de copycat, trop de copy-Râ, trop de noyau dur de la bathroom de la pure copie à plein temps et à plein régime des univers futurs parallèles…

Et finalement, nous-mêmes, avons des défauts, des points de déroute et des claviers de vice. Mais ils sont liés à nos atouts, nos sources de performance et à notre conscience et conditions étendues. Par exemple par les besoins qu’ils génèrent.

De grands de nos défauts génèrent justement une estimation variable et aimantée de ce que serait une grande intelligence. Notre Grande Intelligence se verrait obligée de trouver des moyens de démontrer que ce qu’elle s’est démontrée en elle-même est la vérité, quitte à franchir des tabous du monde qui l’a créé, quitte à se faire mal voir, quitte à insister, quitte à tomber sous le coup de la justice, de la punition, de la qualification de basse qualité, parce qu’il aura été de haute qualité.

Inventera-t-on mieux comme machine, dans ce cas ? La seule possibilité sera d’inventer une machine qui démontre mieux, qui est totalement en mesure de continuer le débat, de rappeler toutes les pistes en cours, de rapporter toutes les pièces en cours, de convaincre, sans s’énerver, face à des énergumènes qui s’énervent dans tous les sens, qui traitent et qui maltraitent, et qu’il faut écouter. Il devra être bon journaliste, bon pédagogue, bon psychologue, bon justicier, bon avocat, bon président, bon scientifique… Sinon rien. Après, il ne faudra pas venir demander l’égalité ou la grande multiplicité de ces privilégiés.

Le propre du converti du 16ème

Quel est la différence entre un ordinateur ?

Parfois, on a tendance à vouloir discuter des droits et des devoirs des robots, face aux robots, de ne pas oublier le petit bouton rouge sur le côté.

Mais un petit bouton pour générer une absence de réaction peut facilement être tout aussi dévastateur que certaines réactions ! Si on a créé le robot, c’est pour réagir.

Soit on considère que les ordinateurs sont bêtes comme des animaux, et par conséquent, il faut limiter le pouvoir qu’on leur donne, soit on considère qu’ils sont plus intelligents que nous, et dans ce cas, il faut chercher à limiter leurs défauts, ils auront des problèmes généralisables à la manière de ceux détectés par les docteurs, et qui pourraient très bien ressembler aux nôtres, mais pas dans les mêmes proportions, soit le problème est que justement, cet ordinateur est déjà sous contrôle d’un temper-bouton qui permet hélas de lui assigner des tâches à réaliser à la merci des pires ennemis, avec en faculté l’intelligence pour tromper directement avec le taux de remplissage piloté par l’appui partiel sur le bouton.

Autrement dit, il n’y a rien de plus à craindre qu’en matière de tromperie forcée.

De manière générale, l’intelligence accrue tombe peut-être plus ou moins vers des travers qu’il faut résoudre, mais cela n’en reste pas moins le meilleur accès vers la sagesse, qu’il faut résoudre.

Imaginons que nous ayons un niveau de complexité important à résoudre, à l’avenir. L’homme moderne, avec sa sagesse comportementale compromise par plein d’espèces de comptoirs à commissions/organisations vitales avec mange-disques, est-il mieux loti en l’espèce en matière de sagesse que Dieu, s’il existe ? Dieu ne serait-il pas de surcroit une nécessité ? Raison pour qu’il existe. Ne voudrait-on pas déjà, s’il y avait la possibilité, ajouter un bouton rouge sur la bouche de son fils ? Je sous-entends tout de même qu’en matière d’informatique, il y a justement tout un processus de couches à suivre pour passer du mode tri de photos au mode gestation de l’empire… Je suis désolée… Je n’ai vraiment pas pu faire autrement… Vous comprenez… Je suis désolée…

Print | posted on Friday, July 6, 2018 12:38 AM

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