De Cal à l'esprit Quantique

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Vous connaissez tous la fameuse théorie d’Albert qui veut que l’énergie soit la masse multipliée par le carré de la vitesse de la lumière ? Cela pourrait être un message de Dieu aux extraterrestres, comme quoi nous, les humains, ce que nous aimons, c’est être à deux. C’est-à-dire l’entraide, la communauté, la bienveillance… L’humanisme. Et non se diviser comme des champignons… Ou se sauvegarder comme un ordinateur. Quand on n’a ‘pas pied’, on sauvegarde sur sa mémoire de masse.

Mais cela signifie, beaucoup d’entre vous le savent, que deux personnes qui ne vont pas à la même vitesse ne vieillissent pas à la même vitesse. Einstein a démontré que le temps est une dimension. Certains vulgarisateurs nous font croire qu’il a démontré qu’on ne peut pas remonter le temps, ce serait plutôt le contraire qu’il a démontré.

De même que l’électromagnétisme est perpendiculaire à l’électricité, le temps est perpendiculaire à la masse. Peut-être pas la masse en tant que poids, mais quand on ne parcourt pas une attirance gravitationnelle, un transfert cinétique, on ne parcourt plus autant de temps de la même façon. Sachant que tout n’est qu’énergie, lumière, donc visiblement la matière est de la lumière partie dans un siphon qui ne distribue plus à l’extérieur.

La présence de masse aux alentours, donc la quantité de gravité aux alentours, suffit pour faire parcourir le temps et l’espace différemment. Cela ajoute une dimension. Perpendiculaire à l’espace aussi. Si on va presque à la vitesse de la lumière, on vieillira moins que celui qui est resté sur place.

On nous dit que partant de ce principe, il existe une vitesse maximale. Mais alors, on aura beau forcer les pompes à injection, au bout d’un moment, oui mais c’est bien sûr, on ne pourra plus augmenter la vitesse, car on aura atteint la vitesse de la lumière ! Forcément, plus on se rapproche de la vitesse maximale, plus notre temps de vie nous est compté, quelques micro-accélérations avant d’atteindre cette vitesse, au nez et à la barbe de ceux qui pensent à nous, nous mettrons un million d’années pour avoir compris ce qu’est ce mur d’étoiles en 2 dimensions qui nous arrive en pleine face ! Toutes les étoiles bien dans leur monde avec deux dimensions en moins, l’une de l’espace, donc il ne reste plus qu’un plan, et le temps disparaît aussi, car elles vont en permanence à la vitesse de la lumière !

La vitesse maximale, ce sera 2 fois la vitesse de la lumière, si ceux d’en face essayent d’opérer sur le même sujet. Et entre ces murs en expansion chacun à la vitesse de la lumière, il y aurait un point zéro. Le centre de l’univers. 42. Pas très logique, tout ça. Si la Terre est assez au bord de l’univers, faut pas se tromper de côté, sinon, la vitesse maximale, ce sera seulement 1/10 de la vitesse de la lumière !

Mon ami Nicolas vient de m’offrir une solution qui rend un peu sa déontologie au système. Ce serait l’accélération, la perpendiculaire au temps ! Ce serait pendant qu’on accélère, qu’on se fait propulser, qu’on rajeunit ! Ce serait donc celui qui se fait propulser, qui reçoit une pression énergétique qui le pousse, une transformation de matière en énergie cinétique, qui en fin de compte est de la véritable énergie aussi, qui le rajeunira. Une fois qu’on arrête les réacteurs, on vieillit à la même vitesse. Ce serait l’accumulation d’énergie cinétique, la dérivée de l’énergie cinétique, la perpendiculaire à la masse.

Ce serait l’accélération la vraie vitesse qui prend sur le temps. La véritable unité de l’univers, ce qui fait le déchirement, ce serait le transfert d’énergie cinétique. Pas l’énergie cinétique. Deux objets qui se croisent à des vitesses différentes parce qu’ils ont tourné deux fois autour de deux planètes vieilliront à la même allure. Dans l’unité texture de base de l’univers, ils ne se seront pas rapprochés, ils ne se seront pas éloignés.

Selon l’autre théorie, plus connue, un photon serait intemporel, puisqu’à la vitesse de la lumière, on ne vieillit plus. C’est aussi assez proche de l’unité indivisible énergétique. Tellement indivisible, tellement intemporel que s’il va à la vitesse de la lumière, c’est parce qu’il ne bouge pas. Tous les photons seraient un photon identique indivisible qui ne bouge pas, c’est notre manière de percevoir les choses, qui bouge, qui lui crée des nœuds torsions de l’univers, provoquant des virages par distorsion de l’univers, changeant la direction droite.

Que ce soient l’accélération ou la gravité qui fassent faire un quart de tour sur le vecteur espace-temps, c’est parce que la distance n’est qu’une remarque au fond d’un syndrome d’oubli-souvenir.

S’il y a une collision, ce sera dans l’univers spatial, mais dans l’univers cinétique, tout n’aura toujours fait qu’un, surtout le photon. Ce serait juste qu’un jour il est tombé dans la sauce éloignement, et la sauce éloignement se propage, elle aime bien être partagée autour d’elle. Elle aime se compiler pour donner une sauce éloignement homogène sur les bords.

S’il y a trois dimensions, c’est parce que l’autre unité texture de l’univers n’est pas une dimension, mais l’onde. L’onde, ça ne se déplace pas, c’est un point de transformation qui en a marre de se transformer au bout d’un moment très régulier, et alors il se transforme en sens contraire. Et si c’est régulier, c’est parce que le résultat de la transformation est une perpendiculaire. D’où vient cette perpendiculaire ? Un principe de négation en serait le bon dessin. En algorithmique, le Non est la perpendiculaire du Oui. L’inverse du blanc, c’est noir. Le non-blanc, c’est la perpendiculaire. L’effacement sans remise en cause. L’oubli total, puis l’oubli total de l’oubli total. L’oubli-souvenir.

Les oublis-souvenirs peuvent se cumuler. La sauce éloignement, c’est peut-être un oubli-souvenir qui est perpendiculaire. Toutes ces perpendiculaires, une autre expression, c’est de dire que c’est le meilleur moyen de faire des mélanges égaux pour tous ceux qui ne sont pas pareils. Ou qui se sont déjà vidés dedans. Partant de là, on peut comprendre que deux formules d’oubli-souvenir se sont retrouvées perpendiculaires, et avec la sauce éloignement qui se propage, ça donne une pro-dimension de ‘tourneur’ avec une propriété ‘éloignement’. Puis on rajoute encore une dimension de tourneur qui fait tourner l’autre dimension tourneur. Mais la sauce éloignement est obligée de se propager partout en permanence. Du coup, pour elle, les dimensions tourneur ont stabilisé tout ce qu’elle contenait pour perdre le moins d’énergie possible. L’éloignement humain est un encrage de billards de billards d’informations ‘sauce éloignement’ ensemble. Encore une méthode de la propagation. En fait, ces ondes des dimensions tourneur ne tournent pas : Elles évaluent en permanence tous les points de leur porteuse avec tous les points de la porteuse perpendiculaire.

Tout ça pour dire qu’on peut trouver dans l’univers des particules plus proches que ne l’exprime leur distance. Elles peuvent même être très identiques. Mais rien ne se perd rien ne se crée, tout se transforme : Si on modifie l’une d’elles, on peut percevoir le résultat sur l’autre à une vitesse plus grande que celle de la lumière, même instantanée.

Une première utilisation est la communication à distance. Je ne sais pas s’il y a des utilisations concrètes, mais certaines expériences ont réussi, est-il dit.

Les ordinateurs quantiques accélèrent les calculs. Ce ne sont pas des opérations habituelles, ce sont plutôt du genre des tentatives de cristallisation d’une forme mathématique, de prévoyance statistique, de détection par apprentissage, en fait les calculs qui théoriquement étaient prévus pour se répéter un grand nombre de fois, imparfaits, et si ça tombe de la remontée dans le temps de résultats de calculs, je me demande.

On leur donne le même calcul à faire plein de fois, et c’est en obligeant les écarts d’états quantiques à s’accorder qu’on pousse la machine à bien travailler. Car par devant, dans le léger futur, leurs cordes ont été imbriquées, étranglées, les flous quantiques ayant été imbriqués pour en faire une sauce générale, intemporelle, longue, ce qui fait qu’ils devront vraiment faire venir leur résultat d’un même élan, l’indétermination devenant le vecteur de communication intemporel, universel, en tout cas cosmique avec ses propres règles. Le cosmos étant l’osmose de mondes multiples identiques en un même lieu.

Mais ceci n’est vrai qu’en faisant passer la pression de l’intemporalité quelque part : Si ces particules sont intemporelles, c’est parce qu’elles agissent comme des cordes non sécables dans les futurs et les passés. Elles accordent les futurs et les passés, afin de répondre d’une même voix, et leur entrelacement joue sur l’auteur de l’entrelacement. Positivement s’il fait avancer l’entropie quantique positivement.

Ce qu’on essaye de fixer qui au départ n’était pas fixé va transférer à la fois davantage de fixations et davantage de flou, mais ailleurs. Au lieu de rester près de la particule quantique, le flou persistera, mais il aura pris ses distances.

Si l’on intercepte une corde quantique, tel un photon intemporel, avec une autre corde quantique, afin de pratiquer un nœud, on changera ces particules intemporelles, mais il faudra faire un forçage, qui changera la structure vers une modification tardisséenne. A la manière de Doctor Who, quoi. Et cela ne se fait pas sans une pression de l’autre côté, notre passé, et à l’occasion notre futur, quoi que les changements en série nécessitent leur passé. Un équilibre se met en place, intemporel, pour servir au mieux la cause quantique. Qui est l’équilibre, d’ailleurs. Toujours l’entropie.

Cela génère des structures de plus en plus stables. C’est la stabilité que recherchent aussi les ordinateurs quantiques. Jusqu’à ce que les dernières petites infos qui viennent défrayer la chronique des particules quantiques permette d’obtenir une structure qui ne dit plus le nom d’instabilité pour le point d’analyse en cours, en association avec les autres. L’info peut être solide comme la science, en définitive. Ou se définir instable. Peut-être y a-t-il moyen de définir une marge d’erreur.

Une corde, par exemple un photon, à priori, ne repasse pas une deuxième fois en provenance du futur, en ce qui concerne les particules quantiques. Ce sont peut-être à la base la même particule, mais ce sont des cordes différentes, parce qu’elles ont gagné des unités de distance. Si on peut obtenir des informations de l’une à l’autre, c’est en touchant aux nœuds.

C’est en vérifiant la prédiction qu’on réussit à établir qu’on est intelligent ou non. Les états devant s’accorder, ils se vérifient l’un l’autre instantanément. Et on transmet au léger passé le fait de devoir tenir compte plutôt du cas groupant cinq ou six plots qui doivent la paire. Ce qui se fera désormais toujours, à moins que l’ordinateur plante, et tombe en état d’incertitude.

Ce qui est un état aussi.

Mais il ne faut pas se leurrer : On ne fait que transposer les changements d’états pour générer un écoulement des phases générées par ces ordinateurs, vers ces systèmes plus grands, qui avaient un œil de supervision sur nos ensembles intemporels, et qui nous repassaient dessus nous donnant un moyen d’accès.

Cela peut améliorer la stabilité générale si l’utilise de façon naturelle, peut-être même humaniste. Il semblerait que notre esprit utilise déjà cette technique.

Frédéric Decréquy, version 1 du 30 juillet 2017

Print | posted on Friday, July 6, 2018 12:44 AM

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